jeudi 21 avril 2022

Morbius

 Morbius :  Entre le bien et le mal, c'est une décision sanglante...



Michael Morbius est atteint d'une grave maladie génétique. Lorsqu'il était enfant, il a rencontrer un jeune garçon atteint du même mal. Michael, très intelligent est envoyé faire des études mais promet à son ami, Lucien/Milo de trouver un remède. 

Des années plus tard, il est proche de réussir. Mais il teste sur lui même le remède. Cette expérience va avoir de lourdes répercussions sur lui. 

Il se retrouve guérit, mais il a été transformé en vampire. Il est plus fort, plus rapide, a une écholocation comme les chauves-souris, mais il a surtout un besoin irrépressible de sang. 

Il va alors lutter pour trouver une solution. Mais tout le monde n'a pas le même sens moral et les ténèbres peuvent engloutir les âmes les plus sensibles. 

Attention ça va saigner...

Alors que nous nous remettons de la sortie de Spiderman No Way Home, Sony nous  propose de nous plonger de nouveau dans le Spiderverse et nous offre le premier film sur l'anti-héros Morbius.

A la fois sombre et tentant de se sortir de sa propre condition, Morbius a été partagé toute sa vie. Malade, dans une condition difficile, il a tout tenté pour se sauver et guérir les gens atteints de la même maladie. Il est même aller jusqu'à faire des expériences pas très "scientifiques". Mais en voyant les conséquences, il a voulu tout faire pour stopper les accidents et faire le bien.  

Entre ténèbres et espoir pour un avenir meilleur, Morbius est un film qui ne divise pas beaucoup, qui a déçu, mais qui n'est pas si mauvais ! 


En effet, on me trouvera sans doute trop gentille, mais j'ai bien aimé l'ambiance. 

Le film est cliché, mais il fait son job. Il n'a pas l'ambition de concurrencer l'homme araignée, mais de faire connaître un nouveau personnage. 

J'ai trouvé Morbius plus intéressant que Venom !


Le film utilise des revers que l'on connait. Il ne fait pas dans l'originalité, mais au final, on rit, on aime bien l'ensemble et on prend plaisir à découvrir une petite parcelle du Spiderverse. 

On a les frères ennemis, la jalousie, l'envie, l'amitié, la loyauté, le bien contre le mal...

Le scénario ne brille pas par la nouveauté. La réalisation est basique et les effets spéciaux sont entre deux. 

Il n'a pas le budget d'un Marvel et ça se voit, mais il se défend quand même pas mal. 

J'ai aimé l'écholocation et les effets quand il vole. 

Ce qui sauve surtout le film, c'est son casting. 


Jared Leto donne vie au vampire vivant et offre un personnage attractif et intriguant. Comment va-t-il s'en sortir pour ne pas sombrer.


Matt Smith est un méchant pas vraiment méchant mais qui donne le change. Un poil trop dans l'excès. Mais son personnage ayant été restreint toute sa vie, il se lâche autant qu'il peut ! 


Adria Arjona donne la touche d'ostéogène. Vraiment sous traitée et qui aurait pu être plus présente et plus forte. Dommage. L'actrice avait l'air de pouvoir donner le change.


Jared Harris est le mentor, l'ami, la figure paternelle et ce qui va faire pencher la balance. Il a la tête du méchant, mais sait parfaitement saisir l'opportunité d'être le gentil. Un bon acteur ambivalent. 

Pour finir, Tyrese Gibson est le flic qui pense faire son devoir avant tout mais qui va se trouver au milieu d'un combat qui va le dépasser. Je pense qu'ils avaient une autre idée pour lui qui a été avortée. La suite, s'il y a, nous dira si j'avais raison ou pas ... ^^


Au total, Morbius est un film pop corn, un nouveau personnage qui ouvre la porte d'un nouvel univers dans la multivers de Spiderman ! Pas le meilleur, mais pas le pire non plus. Si vous aimez les vampires vous ne serez pas déçus, mais pas emballés non plus. Les fans de l'univers Spiderman seront contents ! 

Un film dans la moyenne.


A bientôt !


PS ; Il y a 2 scènes poste génériques. 1 qui ne sert à rien, la seconde qui pourrait annoncer quelque chose d'alléchant et de très attendu ! A suivre ! 


Bande annonce : 




vendredi 15 avril 2022

Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore

 Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore : Un cœur en or pour vaincre les ténèbres !



Alors que Norbert tente comme toujours de sauver des animaux, il est attaqué par Croyance et les alliés de Grindelwald. Suite à cela, il retrouve son frère et ensemble ils vont voir Dumbledore. 

Le grand sorcier essaie de monter une équipe pour arrêter son amour de jeunesse. Pour ce faire, Nobert et  Thésée, les deux frères Dragonneau, Jacob, le moldu, Lally Hicks, professeur de magie aux USA, Bunty, l'assistante de Norbert, Yusuf, le frère de Leta Lestrange et Albus Dumbledore vont tout faire pour sauver les 2 mondes.

Mais la tache ne sera pas aisée et les embuches seront nombreuses pour arriver à déjouer les plans du sorcier maléfique. 

A vos baguettes et vos livres, nous voilà de retour à Poudlard !!


Alors que nous attendions avec impatience ce troisième opus, il a subit de nombreux contre-temps avant de pouvoir arriver sur nos écrans.

Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore est le troisième film de la saga Des Animaux Fantastiques. 

Je vous mets en dessous les liens vers les articles des précédents films ! 

Les Animaux Fantastiques : La magie est toujours là !

Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald : De la magie des origines pour sauver le futur !

Après avoir appris à connaitre nos différents protagonistes, nous nous retrouvons face à la rencontre et l'affrontement pour mieux nous divertir. 

Et après avoir vu New York et Paris, nous retournons aux origines de la communauté des sorciers. 

Poudlard, Berlin et le Bhutan seront nos destinations pendant les 2h22 que dure le film. 


Pour cet opus, les scénaristes, dont J.K.Rowling nous caressent dans le sens du poil avec de la nostalgie à plein tube. 

On retrouve des endroits familiers, des thèmes chers aux pottherhead comme la fratrie, la famille, la solitude, la différence. On a droit aussi à tout un tas d'explications et de révélations en corrélation avec l'univers du sorcier à la cicatrice en forme d'éclair. Et ça fait plaisir d'avoir des réponses surtout sur ce personnage si mystérieux et secret qu'est Albus Dumbledore ! 


Après les sous entendus sur l'homosexualité de Dumbledore, ici, elle est clairement affichée et dite. Il a été amoureux de Grindelwald et le lui dit avec franchise. Et ce dernier tente de se servir de ça contre lui. Mais à cause de leur pacte de sang, ils ne peuvent s'en prendre l'un à l'autre et ce sont donc d'autres sorciers qui vont entrer en jeu telle une partie d'échec grandeur nature. 

Mais ce n'est pas tout. Il avait été suggéré que Dumbledore avait un fond un peu tordu, qu'il avait été mauvais. Mais ce n'est pas totalement vrai et ici, la vérité éclate et le titre du film est très bien trouvé.


Ils ont su trouvé les sentiments en jouant sur la nostalgie et sur ce que l'on aime dans cet univers. Il y a de la tristesse, de la joie, de l'envie, de la colère. Le film n'est pas pour les petits ! Les sujets sont plus noirs dans cette saga et la violence est plus présente car plus adulte. Harry Potter a évolué comme ses lecteurs et ses spectateurs, mais les animaux fantastiques sont plus matures. 


Les autres sujets abordés sont la destinée de Croyance, son origine aussi. On saura enfin qui il est vraiment. 

Les frères Dragonneau sont aussi au cœur de l'histoire. Après des années de dissension, de différence et division, Thésée commence à comprendre un peu mieux son frère. 


Jacob aussi aura son rôle et quel rôle. Il est le rappel de ce pourquoi les sorciers se battent. Il est l'incarnation de ce qui mérite d'être sauvé. Il a un grand cœur et sait s'en servir. Il est drôle, gentil et plein d'humour et de tendresse. Il est ce que nous serions si nous mettions les pieds à Poudlard. 


Il y a des moments pendant le film qui sont un sacré écho à ce que nous vivons ou ce que nous avons pu vivre dans le passé. Avec les mensonges, les manipulations des masses électorales, la guerre sous jacente. C'est un peu bizarre par moment. 

Dans l'ensemble, l'histoire est fluide. Le tout s'enchaine bien et les temps morts sont peu présents sur les 2h20 de film ! Il y a cependant quelques longueurs. Et j'ai trouvé les combats un peu rapide. Je pensais que les affrontements seraient plus longs.


Les effets spéciaux sont très beaux. Que ce soit les créatures, les sorts ou les combats, tout est super bien fait.




Et la musique est très belle. On retrouve encore et toujours James Newton Howard qui fait un travail magnifique. 

Fantastic Beasts: The Secrets of Dumbledore Soundtrack | The Ceremony - James Newton Howard



Fantastic Beasts: The Secrets of Dumbledore - James Newton Howard 


Et à la réalisation, David Yates fait du bon travail. Il connait son équipe, il connait son univers et sait faire. L'ensemble est fluide et correcte. 

Quand au casting. 

On retrouve nos héros ! 


Eddie Redmayne est Norbert Dragonneau. Toujours optimiste et franc. Son honnêteté est sa plus grande qualité même si parfois le second degrés n'est pas son fort. Il offre une seconde chances à ceux qui n'en n'ont pas et protèges les créatures qui sont souvent plus gentilles que les humains ! Sa tendresse et sa générosité ont sauvé plusieurs fois la situation !


Jude Law est Albus Dumbledore. C'est un Albus plus confiant que l'on retrouve. Il sait ce qu'il lui reste à faire pour sauver les mondes des sorciers et des moldus. Il n'a pas de doute, mais il sait que la tache sera ardue et complexe. Sage, toujours mystérieux, il commence enfin à se livrer et se révéler!


Ezra Miller est Croyance (Credence) Bellebosse / Aurelius Dumbledore. Toujours plein de colère et de rancune face à son passé, il va se battre pour Grindelwald, mais il va lui aussi apprendre la vérité sur ses origines et il va affronter sa solitude.


Dan Fogler est Jacob Kowalski. Après les évènements de Paris, il est rentré dans sa boulangerie et ne veut plus être lié au monde des sorcier. Il a trop de peine d'avoir perdu Queenie. Mais Lally va lui rappeler qu'il est aussi un héros et qu'ils ont besoin de lui pour sauver les 2 mondes. Jacob sera la vision d'un monde qui peut être magique et non magique et respecter les 2 côtés ! Il est drôle, gentil et son cœur est sa plus grande force. 


Alison Sudol est Queenie Goldstein. La sorcière qui lit les pensées est au service de Grindelwald, mais plus par dépit que par conviction. Elle se rend compte de la cruauté dont peut faire preuve le sorcier pour atteindre son but. Elle qui n'aspire qu'au bonheur et à la douceur se retrouve écraser par ce Dark Side. Elle est plus interessante ici que dans le dernier opus. 

Callum Turner est Thésée Dragonneau. Dans Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald, il était présomptueux et se croyait meilleur que tout le monde. La perte de Leta lui aura fait voir qu'il ne sait pas tout et qu'il n'y a pas forcément que deux face à chaque monde. Il existe tout un univers entre les deux. Et de côtoyer son frère et d'affronter Grindelwald va le changer. 


Jessica Williams est Eulalie « Lally » Hicks. Petite nouvelle de la bande, elle est professeur à l'école de magie de New York. Elle est d'une grande intelligence et d'une grande force. Elle est aussi gentille et douce. Un vrai atout pour l'équipe de Dumbledore. 

Victoria Yeates est Bunty, l'assistante de Norbert. Aperçu dans l'épisode précédent, elle a ici un plus grand rôle, mais toujours aussi discrète. Et elle fera toute la différence. Pas transparente, mais intelligemment dissimulée, elle apportera une touche d'espionnage dans ce monde magique. Elle est l'instrument qui permet d'attendre son but. 

Richard Coyle est Abelforth Dumbledore. Frère d'Albus, il est taciturne et grincheux. Le passé l'a marqué et il ne sait plus être heureux. Il va aider son frère pour le bien de leur famille.

Mads Mikkelsen est Gellert Grindelwald. Johnny Depp a été replacé par l'acteur danois suite aux problèmes qu'il avait avec la justice. Et quel remplacement. Il est un peu brutal d'ailleurs. Pas d'explication, mais juste une interprétation pure et directe. Mais cela importe peu vu la qualité du jeu de Mikkelsen. Il nous offre un Grindelwald tout en puissance. Adieu la sournoiserie, il passe à l'action. Il continue à mentir, mais ses sentiments ne sont pas mauvais, juste tordus. Sa relation avec Albus en est la preuve. Mikkelsen est le troisième acteur à interpréter le rôle et chacun à su être parfait ! 


Et pour fini, elle était absente de la promo, mais Katherine Waterston alias Tina Goldstein est bien présente. Très très peu. Trop selon moi (oui, j'adore ses interactions avec Norbert). Elle apparait 3/4 fois. Mais je ne vous spoilerai pas !


Au total, Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore est une suite très intéressante, qui permet de résoudre bon nombre de secrets et de théories. Le film n'est pas parfait, mais il fait le job parfaitement en nous offrant créatures, magie et sentiments. On retrouve ce qui a fait le succès des films Harry Potter et on a une belle conclusion mais qui reste ouverte pour de nouvelles aventures. 

Foncez retrouver un peu de magie !! 

A vos baguettes et vos portoloins ! 


Bande annonce : 




mardi 12 avril 2022

And Just Like That ...

And Just Like That... : Et juste comme ça, la vie continue... 




Sex And The City était une des plus grandes séries des années 90/2000. Elle a révolutionné beaucoup de choses dont la perception des femmes et de leur sexualité.

Après 6 saisons qui avaient une conclusion satisfaisante, 2 films plus ou moins réussi, les 4 filles de New-York avaient tiré leur chapeau et étaient parties sur leurs stilettos. 

C'est avec curiosité que j'ai abordé ce spin-off de la série culte. 

Que pouvait on raconter de plus ? Comment aller être aborder certains sujets ? Comment aller être traité le départ de Samantha ? 

J'étais curieuse mais aussi un peu apeurée de retrouver ces héroïnes qui m'avaient tant plus dans leurs aventures farfelues. 

Et c'est finalement avec un grand plaisir que je me suis replongée dans la vie de Carrie Bradshaw-Preston, Miranda Hobbes-Brady et Charlotte York-Goldenblatt.

A la fin de la saison 6, Carrie avait retrouvé Mr Big, alias John Preston à Paris. 

Miranda vivait avec son mari et son fils à Brooklin.

Charlotte était mariée ave Harry et allait adopté une petite fille chinoise. 

Dans le premier film, les filles ont eu pour épreuve un mariage avorté, un mari infidèle repantant et une grossesse pas attendue. Elles s'en étaient sorties avec le pardon et l'acceptation. 

Ce premier film était une réussite et rappelait parfaitement l'ambiance de la série en respectant les héroïnes et en donnant la part belle à leurs différents caractères. 

Le second film traite plus de la routine et de la fatigue d'une vie de mère. Un voyage dans un pays misogyne bien que magnifique permettra de mettre leurs vies en perspective et de voir leurs problèmes sous un autre angle. Après un doute relatif sur le plan marital, Carrie retrouvera son Mr Big, Miranda prendra du recul sur sa carrière et Charlotte apprendra à déléguer et à ne pas toujours être parfaite. 

Ce film bien que drôle et respectant ses critères est moins réussi que le premier. On s'éloigne un peu trop de la base de la série. De son essence.

C'est pourquoi, cette toute nouvelle série pouvait faire un peu peur dans un premier temps.

Et puis, nous voilà reparti à New-York. 


Aller, petit résumé ! 

La série se situe après la pandémie. 

Alors que la vie reprend doucement son court, Carrie a commencé à travailler dans un podcast avec d'autres intervenant pour parler de la vie et des relations. Elle est toujours auteure et continue d'être très proche de Miranda et de Charlotte. Elle a toujours Stanford et Anthony en amis (ils se sont mariés dans le deuxième film).

Miranda, toujours avocate décide de reprendre des études pour travailler dans le droit humanitaire. Elle commence un cursus pour pouvoir faire un stage dans une grande cause par la suite. Elle vit toujours avec Steve. Leur fils a 17 ans et une vie bien remplie. 

Quand à Charlotte, elle vit toujours dans son bel appartement avec son mari, Harry et ses deux filles : Lily (adoptée à la fin de la série) et Rose (elle s'est retrouvée enceinte dans le premier film). Elle est une maman hyper active dans la communauté des parents d'élèves.

Alors que la vie suit son court et que l'on apprend à redécouvrir nos amies qui sont maintenant cinquantenaires, de nouvelles épreuves vont leur arriver et chacune devra faire face et soutenir ses amies.

Cette première saison de And Just Like That... contient 10 épisodes.

Tous ne sont pas de la même qualité et certain sujets traités sont un peu pris soit trop au sérieux, soit survolés soit pas abordés de la bonne façon. 

Mais il est tout de même agréable de les revoir et de continuer leurs aventures. Et la vie ne les épargne pas. 


Elle n'ont s'en doute pas les même problèmes que nous tous aux vues de leurs vies, mais elle sont tout de même confrontées à des problèmes liés à leur âge, leur corps, leurs relations, leur voisinage, leur carrière....

On a le sujet du deuil, du changement de vie, du changement de sexualité, de vouloir plus que le train-train, la maternité, le mariage, l'évolution, les changements de sexe, l'adultère, l'inspiration, le choc des générations, les départs... 

En 10 épisodes, on a vraiment beaucoup, beaucoup de sujets abordés. Presque trop et certains donnent la sensation d'être là pour faire le quota, clicher et être en raccord avec la société et l'évolution. 

Ca fait parfois un peu fake, un peu trop là pour être là. 

Et certains sujets sont traité pour choquer aussi. 

La série est passée par le temps, et par Me Too. Les actrices, les productrices ont évolués dans leur vie et ça s'en ressent dans l'écriture. 

C'est un peu perturbant dans un premier temps, mais au bout de quelque minutes, on s'y fait et on se rappel que c'est ce qui faisait aussi le succès de la série d'origine. 

La mode est toujours aussi présente. 


Elle ne mange pas tout, mais les tenues classes, ou pas adaptées sont toujours de la partie. Tout comme les stilettos !

Les scénarios sont intéressants et riches. Chaque épisode aborde un tout nouveau sujet.

Et certains évènements sont un poil trop prévisibles. Et des raccourcis sont pris par rapport aux problèmes de certains acteurs en dehors de la série.

Les personnages embrassent la cinquantaine avec ce qui en découle.

Que ce soit les problèmes de couple, de santé, de société... Il semble avoir les mêmes problèmes que nous, mais dans une autre dimension. (On n'a jamais compris comment Carrie, journaliste, arrivait à se payer ses Manolo ... )


Mais même avec ce décalage, les filles restent toujours attachantes. Elles ont leur défauts et n'ont pas toujours les réactions que l'on aimerait, mais on reste séduit par leurs vie et par ces personnages qui nous ont accompagnées longtemps. 

Les nouveaux personnages récurrents ne sont pas tous du même niveau, mais on a quand même de nouvelles couleurs dans le tableau qui permettent d'ouvrir de nouvelles portes et de laisser le personnage de Samantha de côté même si son absence est plutôt bien gérée. 

Les actrices ont encore un jeu de qualité et les petits nouveaux que ce soit les enfants, les amants, les amis, les rencontres, apportent une fraicheur et une nouvelle dimension qui enrichie le casting. 


Au total, And Just Like That... est une première saison un peu perturbante, mais qui permet de retrouver des personnages auxquels on est attachés, de voir leur évolution et de nous permettre de rêver un peu encore à leur côtés dans un New York toujours glamourisé ! 

Une saison 2 vient d'être commandée ! 



A bientôt !